Alliance Assurances signe une convention avec le CEIMI

Alliance Assurances a signé, jeudi dernier, une convention d’assurance avec le Club des entrepreneurs et industriels de la Mitidja (CEIMI). Co-signé par Hassen Khelifati et Fethi Ammour, respectivement P-DG de la compagnie d’assurance et président du CEIMI, cet accord permet aux adhérents du réseau CEIMI (industriels et entreprises) de bénéficier des produits et services d’Alliance Assurances, en couvrant tous les risques inhérents aux activités des assurés.

La compagnie offre conseil et formation au personnel en charge de cet accord. De même, elle se charge du placement du patrimoine dépassant sa capacité de souscription auprès d’assureurs et s’engage à offrir la meilleure prise en charge des dossiers sinistre et indemnisation des adhérents.

Fin octobre dernier, Alliance Assurances a signé une convention avec l’Association nationale des commerçants et artisans (ANCA). A la faveur de cet accord, l’association et ses adhérents bénéficient d’une remise de 50% sur leurs assurances automobiles, ainsi que des remises proportionnelles sur les autres segments. Lors de la cérémonie de signature, les deux parties ont convenu d’organiser des journées d’études pour vulgariser la culture d’assurance auprès des commerçants et artisans.

Malgré les difficultés de la conjoncture économique, aggravée par une crise sanitaire, Alliance Assurances multiple les efforts pour se redéployer et redresser ses finances.

Pour rappel, dans un bilan rendu public, la compagnie a annoncé un chiffre d’affaires de 2,392 milliards de dinars au premier semestre 2021, en baisse de 3,5% par rapport à la même période de l’année 2020 (19,16 millions DA).

Elle a justifié le recul de son chiffre d’affaires par «une concurrence et des pratiques déloyales», «une double crise économique et sanitaire sans précédent» et «l’absence du marché de l’automobile neuf». Alliance Assurance réitère son appel aux pouvoirs publics pour procéder à une réforme profonde et urgente des textes régissant le secteur. Elle insiste particulièrement sur la nécessité de mettre en place une autorité de régulation indépendante et une révision de l’article 17 pour interdire la vente à crédit.

K. M.

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